L’usage

Contrairement aux vélos classiques qui sont destinés à un usage basique, les vélos de compétition vont être mis à rude épreuve par leurs pilotes tout au long de leur existence. Pour qu’ils puissent accomplir leur mission, les vélos de compétition doivent avant tout être légers et aérodynamiques. Les plus conseillés sont ceux dont le cadre est entièrement fait à partir de matériau léger afin d’amortir les secousses et les chutes. Le carbone est le parfait exemple. De plus, ce type de matériau permet d’atténuer chaque vibration que provoque le mauvais état de certaines pistes.

L’état des pistes

Pour qu’un cycliste soit au meilleur de sa performance, il faut qu’il ait le vélo adéquat. Avant de choisir son vélo, il doit en effet avoir connaissance de la discipline qu’il va pratiquer. Il doit également connaître l’état des pistes sur lequel il va concourir. Pour les pistes plates et vallonnées, un vélo compact serait un excellent choix. Quant aux pistes montagneuses, un vélo doté d’une cassette assez grande serait idéal pour gravir facilement les pentes.

La transmission

Tout ce qu’un pilote recherche lorsqu’il choisit son vélo est de pouvoir conduire sans qu’il se fatigue vite. Afin de remplir les critères, il faut donc qu’un vélo soit à la fois léger et performant. Plus qu’un simple rouage contribuant au bon fonctionnement de ce type de véhicule, la transmission est la pièce qui permet au pilote de conduire sans épuiser ses ressources dès les premières heures. En général, la transmission est classée en fonction du nombre de plateaux dont elle est équipée.

Ce qu’il faut préparer

L’aventure se fera uniquement avec une bonne préparation, à commencer par votre destination, les bagages que vous pouvez emporter, votre vélo, votre capacité physique et aussi le nombre de ceux qui vont voyager en votre compagnie. Vous devez prendre en compte tous ces facteurs pour mieux appréhender ce road-trip. En toute cas, ne prenez pas beaucoup de choses, soyez décidé à voyager léger et contentez-vous de l’essentiel. Mais le point primordial de la préparation de votre voyage est la vérification de l’état de votre vélo, entre autres choses les freins, les pneus, la selle, le guidon. Si c’est nécessaire, achetez un nouveau modèle et éventuellement du matériel de qualité qui peut être coûteux mais qui en vaudra la peine.

Sur la route

Ça y est, vous avez fixé vos dates et vous êtes prêt à prendre la route. Pour voyager en toute sécurité, il y a encore certaines choses à respecter, comme avoir un GPS, mieux encore : une carte imprimée de votre itinéraire. Si vous voyagez à plusieurs, répartissez les bagages de façons à ce que la vitesse de tout le monde soit assez harmonieuse. Si vous voyagez avec des enfants, laissez,-les toujours passer devant vous pour pouvoir garder un œil sur eux, par sécurité. En parlant de sécurité, ne minimisez jamais l’importance du casque des coudières et des genouillères. Alors, enfourchez votre vélo et c’est parti !

S’entraîner correctement

La préparation d’une course à pied nécessite généralement un bon entrainement. Vous pourriez parfaitement programmer trois sorties par semaine avant le grand jour. Il est alors conseillé d’adopter une course avec une intensité modérée. N’oubliez pas les exercices au sol même si vous préparez une course à pied. Cela ne devrait durer que 10 à 15 minutes selon vos besoins. L’objectif est que vous puissiez renforcer vos muscles. Vous pourriez par exemple réaliser une série de pompes ou d’abdominaux. En tout cas, il est conseillé d’utiliser un baume chauffant pendant la période d’échauffement. Sachez que vous pourrez vous renseigner sur www.endurance-alpha.com si vous souhaitez avoir plus d’informations sur la pratique d’un sport d’endurance.

Ne pas négliger la récupération

Certes, vous devriez vous entraîner régulièrement pour bien préparer une course à pied. Toutefois, il faut éviter d’en faire trop surtout quand le grand jour se rapprochera. Une seule séance peut suffire 4 jours avant l’événement. Vous devriez prendre le temps de vous reposer, jusqu’à l’arrivée de la date de la course. Il est aussi important de respecter la période de récupération entre deux séances d’entrainement. Vous pourriez même profiter d’un bon moment de massage pour favoriser la récupération.

Adopter une bonne alimentation et rester positif

Les séances d’entraînement peuvent devenir fatigantes et pénibles si vous négligez votre alimentation. N’oubliez pas que votre corps consomme de l’énergie pendant chaque entrainement. Vous devriez alors faire le nécessaire pour récupérer cela. Comprenez bien que votre énergie le jour de la course dépendra du dernier repas que vous prendrez. Pour cela, il est recommandé de prioriser du riz avec du poisson. Vous pourriez aussi consommer de la viande maigre sans oublier les légumes. Par ailleurs, il est important d’adopter une pensée positive.

Tout préparer la veille

Prenez le temps de bien préparer vos affaires la veille de la course. De cette manière, vous ne risquerez pas de subir du stress quand le grand jour arrivera. Notez qu’un stress de dernière minute peut causer de sérieux soucis pendant la course. En plus de cela, il vous est recommandé de mettre de nouveaux équipements pour la course. Cela vous évitera les mauvaises surprises en pleine activité. Évitez aussi d’essayer de nouveaux produits de consommation comme une barre de chocolat dont vous n’êtes pas habitué.

Se détendre pour ne pas stresser

Il est important de ne pas trop penser à la course, car cela peut vous causer des soucis. Effectivement, cela finira par vous mettre dans un état de stress et peut impacter votre performance. Ainsi, il vous est conseillé de vous détendre avant de vous mettre au lit. Vous pourriez par exemple mettre une musique apaisante en fond pour vous calmer l’esprit. Un automassage peut être plus avantageux si vous le souhaitez. Enfin, vous devriez garder le même état d’esprit le jour de l’événement. Ce qui fait que vous ne devriez pas changer votre objectif pour la course.

Trouver du temps

Pour beaucoup, l’excuse numéro 1 pour ne pas faire du sport est le manque de temps. Le défaut de nombreuses personnes est de penser qu’il faut avoir deux ou trois heures par jour pour pratiquer le sport. Or, il ne suffit souvent que de quelques minutes par jour pour faire une activité sportive. Par exemple, vous pouvez utiliser le vélo pour aller au travail. Au lieu de regarder la télé, il est aussi possible de faire une demi-heure de jogging.

Choisir des sports que vous aimez faire

Bien que vous souhaitiez perdre quelques kilos, il est important d’opter pour un sport qui vous plaise. Dans le cas échéant, vous allez vite abandonner en cours de route. Ce qui est souvent dommage. D’où la nécessité de viser le long terme. Dans la pratique, les sportifs alternent ou couplent différents sports qu’ils aiment.

Savoir gérer vos efforts en fonction de votre forme

Il faut savoir que chaque personne réagit différemment à l’effort. C’est pourquoi il est nécessaire de savoir s’écouter lors de la reprise des activités physiques. Il faut partir sur un niveau moyen et d’augmenter la dose lorsque vous avez le rythme. Quel que soit le sport, ce conseil reste toujours valable.

Etre progressif

Ceci est valable pour n’importe quels discipline sportive et niveau. En effet, lors des entrainements, il est essentiel d’augmenter doucement votre rythme. Ce conseil concerne est aussi bien les sportifs amateurs que les anciens sportifs. Ces derniers ont souvent tendance à bruler les étapes en s’efforçant de donner le maximum dès le début, ce qui entraine parfois de la démotivation. Pour ce faire, l’idéal est de privilégier les exercices courts, mais pas trop intenses.

Avoir un carnet d’entrainement

Cela peut paraitre étonnant, mais avoir un carnet d’entrainement permet de se motiver pour faire des exercices. Ce support vous servira à noter des données comme le nombre de calories perdues ou la fréquence cardiaque en utilisant des traqueurs d’activité. C’est également un moyen d’évaluer votre progression et par la même occasion de vous encourager à continuer à aller de l’avant.

La planche avec un bras décollé

La planche avec un bras décollé permet de travailler les abdos, les bras et l’équilibre. Avec les genoux décollés, les cuisses et les fessiers sont musclés. En tendant les bras, on place les mains sous les épaules avec les genoux au sol. À cet exercice, il faut essayer de maintenir le dos plat en alignant les épaules et les hanches.

La planche commando

La planche commando est un exercice de gainage qui travaille les épaules et l’abdos. En vous mettant face au sol, les coudes alignés sous les épaules et le dos droit, vous allez décoller les avant-bras pour avoir une planche bras tendus. Durant cet exercice, il est important de trouver une posture la plus stable possible tout en ayant une respiration fluide.

La planche-araignée

La planche-araignée est un travail de gainage assez exigeant. C’est pourquoi cet exercice est idéal pour renforcer tout le corps. En ayant le dos plat, les fessiers et les abdos serrés, vous allez amener le pied droit à plat au sol. Autrement dit, vous devez fléchir votre genou droit. Pendant l’exercice, vous devez garder le bassin parallèle au sol et avoir une respiration lente.

La planche avec un bras tendu

Il s’agit d’une planche le plus classique du gainage. Cela permet de travailler les abdos profonds, les fessiers, les cuisses et les bras. Face au sol avec les bras tendus, il faut aligner les mains sur les épaules. Vous devez maintenir les abdos serrés et les fessiers contractés.

Le Superman

Le superman est un exercice de gainage à plat ventre permettant de renforcer les lombaires, les fessiers ainsi que les abdos. En se positionnant à plat ventre, vous devez tendre les bras au-dessus de la tête et les jambes tendues. Maintenant, il faut décoller les bras, le buste et les jambes au sol.

La planche latérale

La planche latérale permet d’activer les abdos sur les côtés et de dessiner la taille. Pour ce faire, il faut positionner l’avant-bras droit en appui, le coude sous l’épaule et le genou droit et la jambe gauche tendue. En montant le bassin un peu plus haut, vous devez tenir cette posture quelques secondes, puis de changer de côté.

Qu’est-ce que le fat bike ?

Un fat bike est tout simplement un VTT avec des roues très épaisses. Le cadre du vélo conserve par conséquent la structure d’un VTT classique. Il a toutefois été adapté pour pouvoir accueillir des roues plus grandes. Grâce à ses pneus larges, le fat bike peut rouler sur les surfaces meubles telles que le sable, la boue ou la neige. Il est de ce fait possible de continuer à rouler avec un fat bike même en hiver. Les pneus sont également assez épais pour amortir les chocs. Ils absorbent mieux les vibrations causées par les irrégularités du sol. C’est pour cette raison que la plupart des fat bikes ne sont pas équipés de suspensions.
Même si le fat bike est pratique, il a aussi ses petits inconvénients. Il est par exemple un peu plus lourd qu’un vélo classique. La pression de ses pneus doit en plus être adaptée à la surface sur laquelle il roule. Si vous comptez n’utiliser ce type de vélo que de manière occasionnelle, louez-en un. Qui plus est, les services de location sont actuellement nombreux.

Les fat bikes électriques

Pour ceux qui ont besoin d’une conduite assistée, sachez que des modèles de fat bikes électriques existent aujourd’hui sur le marché. Sur ces modèles électriques, le moteur est en général placé au niveau de la roue arrière ou des pédales. Il existe également des modèles avec un moteur dans le moyeu de la roue avant. Pour bénéficier d’un confort de conduite minimum, un fat bike électrique doit être équipé d’un moteur de 250 W. Les modèles haut de gamme peuvent proposer jusqu’à 1 000 W. Pour alimenter le moteur, il faut logiquement une batterie. Notez qu’une batterie de grande capacité est en général assez lourde. Pour cette raison, il est indispensable de bien la positionner sur le vélo afin de ne pas gêner votre conduite. Pour conserver la stabilité du véhicule, vous devez privilégier les modèles avec batterie placée sur le tube diagonal du cadre.

Où rouler avec son fat bike ?

Contrairement au VTT classique, le fat bike n’est pas conçu pour rouler sur des pistes régulières. Pour profiter des sensations offertes par ce type de deux-roues, vous devrez choisir minutieusement vos pistes. Généralement, le fat bike est considéré comme un vélo d’hiver puisqu’il permet de rouler sans problème sur la neige. Il faut cependant éviter la neige fraîche et légère qui risque de faire patiner le vélo. Certaines stations de ski proposent des pistes pour fat bike. Vous pouvez vous rendre dans l’une d’elles si vous souhaitez bénéficier d’une piste dédiée au fat bike. Outre les pistes enneigées, le fat bike peut également être conduit au bord de la mer, sur le sable. En montagne, il existe également des zones meubles où votre fat bike peut rouler à toute vitesse.

Obtenez un diagnostic

Sachez la différence entre être blessé et souffrir d’une blessure. Vous savez que vous êtes blessé lorsque la douleur que vous avez subie ne s’est pas dissipée ou a peut-être empiré. La douleur est le premier signe que quelque chose dans la chaîne cinétique de votre corps n’est pas correct. Vous pouvez vous débarrasser de la douleur, mais vous ne devriez pas oublier la vraie douleur.

Comprenez ce qui est arrivé

Comment vous êtes-vous blessé? Comprendre ce qui s’est passé sera la clé de votre plan de réadaptation afin que vous puissiez éviter d’autres blessures. Savoir ce qui a mal tourné vous aidera aussi mentalement, car se blesser peut vraiment affecter votre niveau de confiance.

Demandez la supervision d’un professionnel

Travaillez avec votre médecin sur un programme de réadaptation basé sur l’exercice. Un physiothérapeute ou un entraîneur personnel peut aussi aider à corriger les mauvaises actions et les déséquilibres musculaires afin de prévenir d’autres blessures.

Alimenter votre corps

Un régime riche en nutriments et une hydratation adéquate sont essentiels pendant la récupération. L’ajout d’un supplément comme la glutamine ou le MSM et la chondroïtine peut également aider à reconstruire les articulations. Restez loin de l’alcool, du sucre et de la farine blanche.

Poursuivre les exercices

Continuez votre plan de réadaptation prescrit pour quelques semaines après que vous vous sentiez à nouveau rétabli. Cela vous aidera à continuer à développer votre force. Concentrez-vous sur les exercices de stabilisation, de base et de flexibilité après la réadaptation. Vous pouvez également réchauffer votre muscle blessé avec un rouleau en mousse.

Testez la dynamo

Pour effectuer les tests, vous n’aurez besoin que d’un multimètre. Connectez cet appareil à la dynamo et faites tourner la roue. S’il y a une tension qui s’affiche, cela signifie que la dynamo est encore utilisable et que le problème vient soit des fils soit des ampoules. S’il n’y a aucune tension affichée, votre dynamo est hors service et il faudra la remplacer.

Testez le reste du circuit électrique

Si votre dynamo est opérationnelle, mais que les ampoules ne s’allument pas, vérifiez si le problème ne vient pas de ces dernières. Regardez attentivement si les filaments des ampoules sont encore en place. Inspectez les contacts et vérifiez qu’ils sont propres. Examinez également les languettes au cas où elles ne sont pas bien positionnées. Si le problème ne vient pas des ampoules, contrôlez l’état des fils. Un fil dénudé peut entrer en contact avec les parties métalliques du vélo et entrainer un court-circuit. Testez aussi la continuité du fil à l’aide d’un multimètre. S’il est défectueux, procédez à son remplacement.

Remplacer la dynamo

Il existe deux types de dynamos qui peuvent équiper un vélo. Vous avez la dynamo latérale qui est mise en contact avec le flan du pneu et la dynamo de moyeu qui est intégrée au centre des roues. Pour le cas des dynamos de moyeu, la solution la plus simple est de remplacer entièrement la roue. Il faut savoir que procéder au remplacement de ce type de dynamo nécessite l’intervention d’un professionnel. Pour le cas des dynamos latérales, il suffit de trouver le bon modèle de dynamo, de démonter l’ancienne et de placer la nouvelle dynamo.

Ayez ce qu’il faut !

Cela ajoute au plaisir que vous procure ce sport et surtout, être bien équipé participe à vous protéger d’éventuelles blessures. Il y a bien sûr, toutes sortes de nouveaux gadgets et accessoires que les fabricants produisent régulièrement, destinés aux férus de foot. Sont-ils vraiment utiles ? A vous de voir s’il y en a qui peuvent vous servir, mais il y a tout de même l’équipement de base, incontournable pour jouer au foot en toute liberté. Vous ne pouvez pas les ignorer, notamment si vous jouez dans une équipe qui participe à des matchs. Que vous faut-il en priorité, à part ces innovations qui ne sont pas forcément indispensables ?

Quelques mots sur le maillot et les gants

Bien sûr, vous devez vous procurer LE bon maillot pour jouer au foot. C’est la tunique de tout footballeur digne de ce nom. De toutes manières, il est aux couleurs du club auquel vous appartenez. Vous y avez votre nom en majuscules, il est à vous et uniquement à vous. Vous devez en prendre soin, il est en quelque sorte votre deuxième peau. Vous le savez, les footballeurs qui se respectent ne quittent jamais leurs maillots. Vous devez avoir un maillot léger, quelle que soit votre position, attaquant, défenseur ou gardien de but. Il doit être aussi aéré, permettant à votre corps de respirer, surtout si vous avez tendance à transpirez abondamment. Puis, votre maillot doit être résistant car vous risquez en tout temps de vous faire tirer votre maillot, en particulier lorsque vous avez le ballon ou quand vous essayez de récupérer le ballon d’un joueur de l’équipe adverse. Quant aux gants, ils vous sont indispensables si vous êtes gardien. Pour qu’ils soient efficaces, ils doivent être à la bonne taille, fins pour être assez souples, doublés au dos si possible afin de mieux protéger vos doigts.

Chaussures et ballon

Quelles sont les meilleures chaussures pour jouer au foot de compétition ? N’oubliez pas que ce sont les éléments les plus importants de votre équipement et qui jouent le rôle principal. Veillez à la qualité des crampons. Vissés si vous jouez sur une pelouse humide ou boueuse, moulés sur des terrains synthétiques ou secs, turf ou stabilisés pour du foot à 5. Mais c’est sûr, vous les voulez stylées aussi, pour qu’elles habillent au mieux vos pieds…Maintenant, que dire du ballon ? Il est tout de même la star d’un match, la seule que tout le monde regarde en permanence pendant 90 minutes. Aussi, le choix du ballon est important, qu’il soit agréable à regarder, mais aussi à toucher, pour vous qui en jouez.

Un sport qui se popularise

Toutefois, il faut savoir qu’entre le football masculin et le football féminin, il existe tout de même certaines différences. Est-ce que cela veut dire que la version féminine du football n’en est pas vraiment une ? Bien sûr que si mais en toute logique, étant donné que les femmes sont physiologiquement différentes des hommes, il est normal que le jeu diffère quelque peu. Les performances naturellement ne sont pas les mêmes, ce qu’il n’y a rien d’étonnant. Ce sont des femmes qui font du football féminin et non des femmes qui jouent au football masculin.

La base des différences du jeu

Le jeu féminin est différent du jeu masculin, surtout en raison des caractéristiques physiologiques des joueuses. Le plus souvent, les femmes sont de plus petite taille que les hommes et leur force et leur puissance est moindre que celle des hommes. Tous ces facteurs qui sont tout à fait naturels expliquent déjà la différence du jeu féminin. De plus, la capacité aérobic d’une femme est en général inférieure à celle de l’homme, à cause du niveau d’hémoglobine plus bas et du tissu adipeux plus important. Toutes ces caractéristiques influent forcément sur le jeu, et constituent les principales différences entre le football féminin et celui masculin.

Autres dissemblances et des similarités

Les footballeuses ont tendance à avoir un taux de graisse corporelle plus important que leurs homologues masculins, mais à noter qu’entre les deux groupes, les athlètes féminins ont la capacité de brûler cette graisse corporelle plus vite et mieux, probablement en raison des hormones. C’est d’ailleurs cet avantage naturel qui permet aux femmes d’exceller dans les sports d’endurance sur longues distances. Mais il faut admettre que les capacités physiques des joueuses sont naturellement moindres. Là où les footballeurs et les footballeuses se retrouvent au même niveau, c’est sur les schémas du rythme cardiaque.

Une nutrition de choix s’impose

Des études ont prouvé que les footballeuses peuvent perdre jusqu’à 2,3 kg au cours d’un seul match et que l’énergie dépensée peut atteindre les 4 600 KJ. Ce qui démontre qu’une nutrition sérieuse et correcte est indispensable, pour que le stock de glycogène dans les muscles soit suffisant. Car c’est là que le corps puise l’énergie et la force dont il a besoin pour carburer pendant le match. Les nutritionnistes recommandent aux joueuses de suivre un régime alimentaire basé sur une importante prise d’hydrates de carbone, dans les 50 à 65 % de l’apport calorique et un bon apport en calcium.